Les commerces locaux

Depuis très longtemps, Stembert compte parmi ses concitoyens de nombreux « indépendants » qui aujourd’hui sont présents dans des domaines très variés un peu partout dans le village. Les traditionnels boulangers, bouchers, légumiers, coiffeurs, épiciers, pharmaciens, libraires, cafetiers, fleuristes, pompes funèbres, marchand de spiritueux et vins, vitriers, carrossiers et garagistes, etc… côtoyaient parfois des petits commerces locaux, des petites surfaces où l’on trouvait un peu de tout.

Autrefois, on trouvait aussi un maréchal-ferrant au coin des rues des Champs et de l’Egalité, des forgerons, des marchands de lait avec leurs charrettes tirées par des chiens ou des chevaux, des apothicaires, un armurier (dans l’immeuble qui occupe aujourd’hui le café de la Taverne du Perron), une menuiserie dans l’actuelle rue L. Damseaux, des drogueries, des lavandières, des quincaillers, un imprimeur, un marchand de tapis, etc…

Mais qu’en était-il autrefois ? L’histoire du commerce stembertois s’est sans doute toujours résumée à sa plus simple expression : des petits magasins locaux desservant une population de voisinage avec les contacts sociaux et amicaux que cela engendrait : prendre le temps de vivre, discuter avec la clientèle, fournir des produits de qualité car fabriqués sur place et savourer les joies d’un métier pour lequel l’on ne regardait pas à son temps.

Plus récemment, ces petites cellules se sont réduites considérablement à Stembert, notamment à cause de la mobilité qui fait circuler plus de personnes plus loin. Là où, auparavant, on recherchait la proximité, notre époque est plus encline à la circulation des personnes qui n’hésitent plus à parcourir plusieurs kilomètres pour se ravitailler ou se rendre chez le coiffeur ou le boucher.

En plus, l’évolution croissante des grandes surfaces a permis de réunir beaucoup de marchandises en un seul et même lieu. Le village de Stembert compte et a compté différentes grandes surfaces dont seules deux subsistent encore : le Delhaize situé avenue Jean Lambert et le Smatch qui se trouve avenue Fernand Desonay. Mais d’autres ont existé avant cela…

Parmi les plus anciens, on compte un commerce de type « SPAR » à la place de l’ancienne agence bancaire Fortis, rue du Panorama.

Il y eu aussi un magasin « VEGE » (rien à voir avec le végétarisme) dans la rue des Champs, dans ce qui devint la grande salle de Chanteloup, dans les années 70 ou 80.

Nous avions aussi un magasin de vêtements « LA LOUVE » dans la surface du légumier de l’avenue Desonay.

Vieux metiers 01

 

 

 

Vieux metiers 02

 

 

 

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